n° 30 (octobre 2018)


Publication à périodicité (éventuellement) mensuelle * ISSN 2494-1360
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Au sommaire de ce numéro :   
(en gras : les nouvellement arrivé(e)s)


















































3 commentaires:

  1. Bonjour, il me semble que, pour la poésie contemporaine, c'est exclusivement un public d'auteurs qui fait vivre le cercle. Et encore, il me semble qu'il y a un flot d'auteurs, comme une submersion, mais combien achètent les livres de leurs contemporains? Dans ce flot à qui mieux mieux pour apparaître, être édité, combien de véritable voix/voie? Je ne veux pas être désobligeant mais le simulacre et les faux semblants "en poésie" sont un comble. Enfin il faut de tout, même en poétique. Cordialement. Malo tardieu.

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    1. Bonjour Milo, l'amertume de vos propos m'attriste. Je vois la poésie contemporaine comme un ensemble de fleurs sauvages auxquelles les revues littéraires offrent un espace propice à leur ensemencement. Certaines sont de grandes digitales pourpres, d'autres d'âpres ciguës ou encore de frêles graminées. On m'a nommée un jour "petite consoude". Je connais des orties dont nul ne songerait à faire un bouquet. Pourtant, aucun végétal ne me paraît inutile. Libre à vous de préférer les pelouses tondues et les cultivars devant les monuments historiques (j'aime aussi... la nature est variée). Pardon pour cette métaphore mais il me semble que la Poésie est davantage un état d'esprit qu'une course à la publication et je remercie les directeurs de revues de faire entendre nos voix (même toutes petites), en chorale. Sincèrement. E. RABU

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  2. Pour être un peu taquine (réaliste?) :

    Les gens ne lisent pas, n'achètent pas, de poésie, ils en écrivent en espérant qu'on les lise.

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