mercredi 28 février 2018

éditorial



n° 24 – mars 2018
Publication à périodicité (éventuellement) mensuelle * ISSN 2494-1360
prix : 1 mot (chaque personne qui consulte et apprécie ce blog est invitée à nous envoyer, en échange, un mot)


J'ai envie de partager avec vous ces deux messages encourageants reçus au cours du dernier mois :

« Merci pour ce travail d'ombre et de lumière que vous menez et qui permet à Lichen de pousser, tranquillement, sur un tronc bien enraciné. C'est toujours un plaisir de se promener parmi ses feuilles ! » (CM, 24/01/18)

« Dans la grisaille parfois morne de la modernité, cette revue [Lichen] constitue l'une des dernières véritables échappées. » (OR, 27/01/18)

Dans ce 24e numéro (dont la version « .pdf » comporte 39 pages), sont réunis 41 poètes et/ou « imagier/ères », dont 7 nouvelles/nouveaux auteur(e)s qui viennent rejoindre nos pages blanches et grises (où nous leur souhaitons — comme il est d’usage — la bienvenue) !

Bonne lecture et belle fin d'hiver !

Pour accéder directement au sommaire, cliquez ici ; pour obtenir la version en .pdf, c'est .

Ce numéro du mois de mars a été mis en ligne le 28 février 2018, depuis un plateau des Alpes de Haute-Provence enfoui sous des bourrasques de neige...  



Pour Lichen, le directeur de publication, Élisée Bec.






Post-scriptum :
1 : Envoi des textes et des informations sur des événements liés à la poésie (pour la page « Actualités ») avant le 15 du mois, s’il vous plaît. Attention : comme je reçois de plus en plus de textes et que je ne veux pas dépasser les 50 pages, vos propositions ne seront pas forcément publiées tout de suite, mais peut-être dans un numéro ultérieur.
2 : Pour le don de mot, merci de me le faire parvenir par mail plutôt que via les commentaires.
3 : Rappellons qu’il existe deux versions de chaque numéro de Lichen : l’une en ligne, chaque page d’auteur étant accessible depuis le sommaire par lien électronique ; l’autre, en format .pdf, est téléchargeable et lisible ensuite sans connexion — voire imprimable si on le souhaite (mais gare au papier !).