Maléfice
Le chant
celtique des dieux antiques qui rôdent
Me
rappelle à mon sang
A tous
les firmaments
J’entends
ta voix
Dans le
crépuscule, j’entends ta voix
Dans le
crissement de l’aube
Dans le
grondement du jour
J’entends
ta voix
Souffle
des promesses perdues et des doléances
Quelques
siècles
Ou
quelques secondes
L’Infini !
Je vois
tes yeux d’abîme
Tes yeux
d’opale
Aux
promesses ardentes
Passager
ondoyant
De flux
contradictoires.
Tes bras
enlacent le silence de la nuit
Ton
chant résonne comme un maléfice
Qui
tremble par-dessus les mers.
Actuellement en master de Lettres modernes à
l'université de la Sorbonne-nouvelle, Sarah McKenna est née à Paris,
mais elle a aussi vécu quelques années en Irlande. Présente dans le n° 28 de Lichen.
Aurions-nous affaire à Brigitt la protectrice des poétes en attente de Bres le beau?
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