vendredi 31 octobre 2025

Ouverture

 

N° 114 (novembre 2025)

Publication à périodicité mensuelle * ISSN 2494-1360

Rappel : un nouveau numéro est mis en ligne le soir du dernier jour de chaque mois

prix : 1 mot

(l'accès et la lecture sont gratuits, mais nous demandons que chaque personne

qui consulte et apprécie cette revue en ligne nous envoie, en échange, au moins un mot)

Pour le don de mot et toute correspondance : lichenrevue@gmail.com

 

 

 


"Le craquement des os, le pouls brisé, le choc

de la pioche : c'est là leur scansion souterraine ;

car si la vie est une, ils résonnent plus haut

aux lèvres des mortels que dans l'ouate du ciel." 

Joseph Brodsky

Vertumne et autres poèmes, Gallimard, 1993 

 

  

 

Pour le mois de novembre vingt-six poètes, dont trois nouvelles recrues, qui nous rejoignent : Jean-Paul Gavard-Perret, Mathilde Hinault et Myriam Kamagaté à qui nous souhaitons, selon l'usage, la bienvenue dans les pages blanches et grises de Lichen !

 

 

Pour accéder directement au sommaire, c'est ici

 

Pour obtenir la version .PDF (consultable hors connexion, une fois téléchargée), c'est 


 

Bonne lecture ! 


Pour Lichen, la directrice de publication, Nadège Cheref

 


Ce n°114 de Lichen a été mis en ligne le 31 octobre dans la ville de Sète.

 

 

 Hélène Cazes - Eclat du chaos


Avec sa série "Eclats du chaos", Hélène plonge au coeur d'un chantier emblématique den démolition de Montpellier Les Halles Laissac. Entre effrondrement et lumière, ses images révèlent la métamorphose d'une architecture en mouvement. Elle invite le spectateur à voir, dans le chaos du béton, l'émergence d'espaces nouveaux, oscillant entre tension et suspension poétique où l'urbain et l'humain se rencontrent."  


Hélène Cazes est une artiste pluridisciplinaire, née à Sète et vivant à Montpellier, elle tisse des correspondances entre photographie, sculpture, court-métrage et musique. 

Elle passe son enfance à pratiquer la danse et le piano au conservatoire de Sète jusqu’en fin d’études. 
De son premier métier d’hôtesse de l’air, son appareil photo est le compagnon de tous ses voyages. Autodidacte passionnée, elle suit des cours du soir pour adultes à l’ENSP d’Arles. Elle apprend la sculpture et le modelage en autodidacte, avant d’approfondir les techniques de moulage et de coulage de porcelaine à Bruxelles.
Sa démarche artistique explore les métamorphoses de la matière à travers les architectures urbaines et humaines, ainsi que de la nature et ses éléments. 
De ces explorations surgissent des tableaux aux multiples visions d’interprétations.
Hélène Cazes sera présente au Festival de Fabrègues du 28 au 30 novembre 2025. 

 

mercredi 1 octobre 2025

Ouverture

 

N° 113 (octobre 2025)

Publication à périodicité mensuelle * ISSN 2494-1360

Rappel : un nouveau numéro est mis en ligne le soir du dernier jour de chaque mois

prix : 1 mot

(l'accès et la lecture sont gratuits, mais nous demandons que chaque personne

qui consulte et apprécie cette revue en ligne nous envoie, en échange, au moins un mot)

Pour le don de mot et toute correspondance : lichenrevue@gmail.com

 

 

 

 

"J'avais une odeur. Il faisait chaud à l'intérieur.

C'était fixé entre mes yeux et clignotant aussi dans les cieux : éclipse tictaquant

esquivant la lumière, comme un moto-taxi du matin déchirant

ma fenêtre, faisant descendre ses passagers dans le soleil."

Shane Book
 
Nouvelle génération Lost in translation
Traduction d'Eric Freeze, Grotte du Lazaret, 2021 

 

 

 

 

Pour le mois d'octobre vingt-six poètes, dont six nouvelles recrues, qui nous rejoignent : Henri Baron, Rémi Boulle, Arnoldo Feuer, Beevy Jalma, Helen Shrown et Gus Terrenx  à qui nous souhaitons, selon l'usage, la bienvenue dans les pages blanches et grises de Lichen !

 

 

Pour accéder directement au sommaire, c'est ici

 

Pour obtenir la version .PDF (consultable hors connexion, une fois téléchargée), c'est 

 

Bonne lecture ! 


Pour Lichen, la directrice de publication, Nadège Cheref

 


Ce n°113 de Lichen a été mis en ligne le 1er octobre dans la ville de Sète.

 

 Sète - Photo de Sandrine Manière


 

 Avec son téléphone comme unique outil, Sandrine Manière capture des fragments de réel. Loin des appareils sophistiqués, elle choisit le smartphone comme outil de prédilection. Un choix audacieux qui révèle une volonté de s’affranchir des conventions et d’explorer de nouvelles voies créatives. Avec cet outil du quotidien, elle capture des instants fugaces, des détails imperceptibles qu’elle assemble et transforme grâce à une superposition d’images. Un approche intuitive et spontanée qui témoigne d’une grande maîtrise technique et d’une grande sensibilité artistique. Sandrine Manière a exposé à la Galerie Open Space à Sète en février 2025.