Éditorial 40

n° 40 – septembre 2019

Publication à périodicité (éventuellement) mensuelle * ISSN 2494-1360

prix : 1 mot

(l'accès et la lecture sont gratuits, mais nous demandons que chaque personne 

qui consulte et apprécie cette revue en ligne nous envoie, en échange, au moins un mot) 

Après Antoine Emaz en mars, voilà Michel Baglin qui nous quitte en juillet : deux immenses béances dans le monde de la poésie francophone, deux poètes qui vont beaucoup beaucoup nous manquer... Une raison de plus pour les (re)lire.

Je ne peux que vous recommander de parcourir les pages consacrée à Michel Baglin par Pierre Perrin dans le n° 47 de sa revue Possibles (http://longueroye.free.fr/pos47.php).

Dans ce numéro de « rentrée » de Lichen, nous avons le plaisir d'accueillir 54 poètes, dont 8 nouveaux/elles. 

Je vous en souhaite bonne lecture, belles découvertes et n'hésitez pas à diffuser largement autour de vous...

Très beau mois de septembre !

Pour accéder directement au sommaire, c'est ici ; pour obtenir la version .pdf, c'est là.

Pour Lichen, le directeur de publication, Élisée Bec.

Courrier reçu

« Belles lectures d'été dans le n° 39.

Merci à :

- Amaury pour son Rêve de Transsibérien qui fut aussi le mien jusqu'à Vladivostok. Ce train si lent, aux horizons de mers vertes et ocre, dont les ports sont des gares, m'a donné envie d'aller découvrir, un jour..., non le sud de l'Amérique mais une autre mer, glaciale celle-ci, pour accoster en Alaska ; 

- Jean-Pierre Bars dont le rythme d'écriture s'accorde si bien avec les éléments ;

- Michel Betting dont Par un matin gris a un goût de comptine ;

- Youssef Branh pour son cri de Mère nature;

- Eric Cuissard dont je retiendrai « À donner des idées noires à un parapluie blanc » dans Pour une stèle aux parapluies abandonnés ;

- Véronique Levy Scheimann dont le Cendrier m'évoque tant de moments enfouis ;

- Marie Natanson pour son hommage à Apollinaire.

Sans oublier les participants à l'Atelier qui m'ouvrent de multiples horizons... Est-ce bien raisonnable de redire mon admiration pour l'écriture de Guillemet ?... »

(Anaïk Simon)