Habitant à Reims, Éric Cuissard publie poèmes et des récits courts en revue, depuis une quarantaine d'années : Sol'Air (Nantes), Rétroviseur (Lille) — disparues aujourd'hui —, Friches (Haute-Vienne), Inédit Nouveau (Belgique) et Phooo (Calcutta). Trois recueils publiés : Sténopé (Sol'Air), Angles des Cris Purs (Books on Demand) et Le Résident des Interstices (Sajat). Présent dans les n° 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 20, 21, 23, 24, 26, 28, 29, 30, 33, 34, 39, 43 et 50 de Lichen.
Ben alors pari gagné... C'est drôle et pas drôle. C'est bien trouvé.
RépondreSupprimerMerci Colette. Ça se veut plus drôle que tragique. Juste un peu moralisateur. Genre:" À consommer avec modération". Pas comme ta poésie, jolie dame.
SupprimerVisuellement très réussi,simple sans être simpliste : contenant et contenu en accord.....Je pense à la guêpe prise au piège....merci Eric pour ce calligramme.
RépondreSupprimerBonjour Béatrice.Aucune sympathie pour cet hyménoptère apocrite du genre vespula. Une rencontre récente me laisse un souvenir...cuisant.
Supprimer(ceci est une troisième tentative de réponse.Ça imprime pas! Toutes mes excuses si les deux premières apparaissent)
J'aurais étranglé le goulot davantage (cf "coincé là") mais vraiment Éric j'aime ton poème en étau simple entre empathie et "esclaffade".
RépondreSupprimerOui Clément pour l'étranglement. Mais ce genre de chose n'est pas facile à réaliser. Peut-être existe-t'il un logiciel adapté? Ça ressemble plus à une bouteille de lait. Ceci dit quand on est ivre on est laid!
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