Béni soient les mariés
La vie est le rêve d’une nuit étoilé
Heureuse dans l’ignorance
Jusqu’à voir les naines blanche
Jusqu’à ce que l’ombre soit révélé
Et parfois quand on se sait recouvert
Par le brouillard d’un néant sans issue
On le prend dans nos bras découverts
Sans être capable seulement d’en prendre le dessus
Ainsi vient l’heure de l’occultation
L’heure de pactiser avec le malin
Et lorsque s’ouvrira la cinquième dimensions
Eux reviendront te tenir la main
Tes yeux seront le miroir des limbes
Alors le soleil sera dévoré
Ainsi Fenrir se sera délecté
De son duel du chemin enneigé
Et tandis que l’éclat illumine de Majesté
La noirceur se doit d’embraser le néant de ses sombres
promesses
Depuis ses 15 ans Enzo Tahhan n’a eu de cesse d’écrire le soir, à la lueur d’une petite lampe de poche, pour mieux comprendre qui était vraiment la personne qui se trouvait en lui. Il écrivait sur la tristesse, l’amour, la nature, les Hommes et notre société mais aussi sur ses hallucinations, ses cauchemars et ses ténèbres. Cela lui a valu d’être lauréats à plusieurs concours amenant jusqu’à la publication de son recueil « Discours d’une ombre »à seulement 18 ans. Un an et 4 concours après après il projettent d’en sortir deux nouveaux, bien différent…C’est sa première apparition dans Lichen.
Magique et vénéneux - dramatique et lumineux
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