par Xavier Monloubou
L'Air de Paris, 4
À la commodité de l’oiseau empoté de douceur. Ô, tenter d’aborder la fragilité, la fraîcheur, la vitalité, à œuvrer sans cesse de pureté les yeux dans un brouillon de colombes.
Né en 1968, Xavier Monloubou est éducateur, formateur, ingénieur en travail social, coach parental. Quelques textes en prose et photos ont été retenus par les magazines ou revues : Fanzines Colegio Francia Caracas 1989, Enjeux EJE, Traction-Brabant, Soliflore, Recours au poème, 100% haiku, FPM, Le Capital des Mots, D'ailleurs Poésie ; il a publié deux recueils en prose : Les portes de pierre (à compte d'auteur via Publibook, 2002) et Déclinaisons (aux éditions Henry, 2019) qui a reçu la mention « Jeanne Maillet » aux Trouvères 2018, puis le prix Trouvères des lycéens (2019). Présent dans les n° 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 53 et 54 de Lichen.
J'adore texte et photo
RépondreSupprimermerci, c'est encourageant..
SupprimerOn aurait pu écrire " l'homme oiseau" tant l'homme se confond avec ces congénères. Les nourrir ou pas. J'ignore lesquels de l'homme ou des oiseaux a le plus faim.
RépondreSupprimerOui l'oiseau est commode. Mais c'est l'homme qui est doux.
Ce brouillon est bien joli. Merci pour la photo.
merci ; belle apostrophe sur la relation de l'oiseau à l'homme — qui se nourrit de rêves d'oiseaux — ... depuis qu'une colombe a su ramener Noé... ; ... faut il toujours laisser un oiseau s'envoler... (Xavier M.)
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