À Viviana, dans ces vies
Non, je ne porte rien,
non, rien de beau,
juste un vêtement de peau…
… d’être.
non, rien de beau,
juste un vêtement de peau…
… d’être.
*
Un tumulte à venir,
blanc, gris, noir,
en volutes ouatées,
avance inexorablement.
blanc, gris, noir,
en volutes ouatées,
avance inexorablement.
La braise changeante
aux prémices de l’orage
frissonne sous le souffle.
aux prémices de l’orage
frissonne sous le souffle.
Bientôt, la pluie,
taillera sous le sable
la rose enfouie.
taillera sous le sable
la rose enfouie.
*
L’aube naissante
avale la nuit.
avale la nuit.
Iris et belles de jour,
aux premiers rayons, s’abandonnent
aux premiers rayons, s’abandonnent
Coach de vie, thérapeute, Teric Boucebci se définit comme un poète méditerranéen. Il est l’un des fondateurs de la revue Phœnix dont il est directeur de publication. Il a publié Les vents bleus (2010), AYESHA (2009), contribué à différentes revues (Revue des Archers, Autre Sud, Formafluens, Phœnix,12x2, OSIRIS, Bacchanales...) et participé à plusieurs anthologies dont Mennska i myrkrinu (Thor Stefansson), Présence de Tahar Djaout, poète (Amine Khan), La poésie est grammairienne (Claude Ber). Présent dans le n° 34, 35 et 36 de Lichen.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire