À
l’enfant qui joue
Dans
l’espace inventé
chaque
chose
continue
Aussi
les gestes
préfigurent
un
surcroît de vérité
Un
jouet infiniment
un
silence trompeur
grand
rêve jamais révélé
Retient
ce qui vient
du
secret
des
retrouvailles
Autour
s’estompe
le
grand feu
des
chimères
Né
en 1980, Sébastien
Houÿ
pense que la poésie « pourrait bien être une nuit qui promet le
jour ». Le présent poème provient du recueil inédit Le
Visage de l’Éloignée.
Présent dans les n° 33, 37, 38, 39, 40, 41 et 42 de Lichen.
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