polder
sable sur sable efface
l’étendue
du regard sans rives
et ceint l’image
autour de l’épine
dorsale
la main draine
l’encre des horizons
lointains
et l’inspiration enfle
les digues
des mots
lapidaires
à peine voit-on
le sable écrire
la langue d’une terre
îlot
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