Texte écrit à quatre mains
Les joies à l'interface dessinent
Les contours du jour radieux
La parfaite unité du jour
Et les lignes de mon cœur
Et celles unanimes de la vie
Qui nous unissent dans l'amour
Et l'intelligence sans équivoque
Laissant tomber toute rancœur
Et l'ardeur des passés qui soupirent tout l'été
Jusqu'à l'hiver où tout prend fin
Et où le ciel noir couvre l'horizon
Au diapason des déraisons.
Georges Thiéry est né en 1978 à Troyes d'un père français et d'une mère américaine. Après des études en archéologie à Lyon, Dijon et Strasbourg, il vit en Bourgogne et travaille sur des chantiers archéologiques en France, tout en menant, parallèlement, un travail d'artiste-peintre et de poète autodidacte. Il a auto-édité une dizaine d'ouvrages et publié notamment dans les revues Recours au poème, Levure littéraire, Mille et un poètes, Festival Permanent des Mots et Le Capital des mots. Présent dans les n° 39, 43, 48, 50, 51, 61 et 70 de Lichen.
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