Le chemin vrai n’aboutit pas mais s’ouvre
à plus que soi en droites et détours.
On le croyait dans sa poussière et c’est
plus en avant qu’il fuse et se reporte,
le temps peut-être qu’un tel le rejoigne
en plein halètement de la cadence
pour mettre en voie des enjambées gauches.
Clément G. Second écrit depuis 1959 : poèmes (sortes de haïkus qu’il préfère nommer Brefs, sonnets, formes libres), nouvelles, notes sur la pratique de l’écrit principalement. Plusieurs ouvrages en cours ou achevés, parmi lesquels, en poésie, Porteur Silence (2017 aux Éditions Unicité de François Mocaër), Encres de songerie (2018) et Ce qu’avoue la lisseur des choses suivi de Reprise (2020) chez le même éditeur. Longtemps en retrait des échanges littéraires, a commencé en 2013 à collaborer à diverses revues pour l’ouverture et le partage : publications dans Le Capital des Mots, La Cause Littéraire, Décharge, 17 secondes, Écrit(s) du Nord, Incertain regard, Lichen, Littératures brèves, N47, Neiges (site Landes), Nouvelles d’Harfang, Paysages écrits, Revue Pantouns, Terre à Ciel, Verso. Réalisations avec Agnès Delrieu, photographe (revues, blog L’Œil & L’Encre http://agnesdelrieu.wix.com/loeiletlencre). Proche de toute écriture qui « donne à lire et à deviner » (Sagesse chinoise), où « Une seule chose compte, celle qui ne peut être expliquée » (Georges Braque), et qui relève du constat d’Albert Camus : « L’expression commence où la pensée finit ». Son blog : Carnets de flottaison CF. https://carnetsdeflottaison.blogspot.com/ (a1944@hotmail.fr)
Présent dans les n° 2, 3, 6, 7, 8, 9, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 19, 20, 21, 22, 26, 27, 28, 29, 32, 33, 34, 38, 39, 40, 48, 60, 61, 68, 76, 89, 101 de Lichen.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire