Vient de paraître
Livre d'artiste
Le poème « Un oreiller d'ailes mortes »
de Colette Daviles-Estinès
que nous avions publié dans le n° 32 de Lichen (décembre 2018),
mis en images par le collacteur SCZ
(présent dans les n° 3, 4, 5, 6 & 8 de Lichen)
a été publié par le poète-éditeur niçois Alain Freixe
dans la collection « À côté » de ses « Cahiers du Museur »
à 21 exemplaires sur grand papier.
11 d'entre eux sont encore disponibles auprès des auteurs
au prix de 50 €, port compris (via la revue).
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à paraître
Les éditions L'improbable
annoncent
une souscription (jusqu'au 15 mars)
pour l'ouvrage
Cantique des cantiques
Songes de Leonard Cohen
de Zeno Bianu et Odradek
photos de Didier Ben Loulou
livre + CD 4 titres
édition courante : 20 € jusqu'au 15 mars, puis 24 €
(L'Improbable, 9 rue de l'Harmonie 65000 Tarbes)
cliquer sur l'image pour accéder directement au site des éditions
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Pierre Perrin
nous fait savoir :
« En mars, pas de farce ; le carnaval est terminé.
Voici cinq femmes à l’honneur pour notre plus grand bonheur. »
C'est dans le n° 42 de la revue
Possibles
cliquer sur l'image pour accéder directement au site de la revue
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Françoise Favretto
Atelier de l'agneau éditeur
nous annonce la parution du n° 16 de la revue de littérature
l’intranquille
(mars-septembre 2019)
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Annabelle Gral
nous informe que le n° 181 (mars) de la revue
Décharge
comporte des dessins et illustrations de sa main
(dont la couverture)
cliquer sur l'image pour accéder directement au site de la revue
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Michel Diaz
nous annonce la parution de son recueil
Comme un chemin qui s'ouvre
aux éditions L'Amourier
(cliquer sur l'image pour accéder directement au site des éditions)
Ces textes se sont invités à mes marches en solitaire, écrit Michel Diaz dans son avant-propos. Marches entreprises sans contrainte,
mais dans une inattendue et urgente nécessité, et qui, de soi à soi, finalement, se révèle être un lent retour. Avec un autre visage.
Les marches de Michel Diaz l’arrachent toujours à ce qu’il y a d’orienté, de connu dans les déplacements, les simples promenades.
L’auteur dit être pris, en marchant, dans un rythme qui ouvre l’air à l’espace. Alors émanent dans le souffle les fulgurances de l’imprévisible,
les tremblements du corps, le lancinement d’anciennes douleurs refoulées dans les soutes de la mémoire.
Il faudra s’enfoncer dans de longs silences pour qu’une parole, inaudible rumeur, advienne en poésie…
mais dans une inattendue et urgente nécessité, et qui, de soi à soi, finalement, se révèle être un lent retour. Avec un autre visage.
Les marches de Michel Diaz l’arrachent toujours à ce qu’il y a d’orienté, de connu dans les déplacements, les simples promenades.
L’auteur dit être pris, en marchant, dans un rythme qui ouvre l’air à l’espace. Alors émanent dans le souffle les fulgurances de l’imprévisible,
les tremblements du corps, le lancinement d’anciennes douleurs refoulées dans les soutes de la mémoire.
Il faudra s’enfoncer dans de longs silences pour qu’une parole, inaudible rumeur, advienne en poésie…
EAN : 9782364180536
130 p., 14,50 x 20 cm
Collection “ Fonds Poésie ”
130 p., 14,50 x 20 cm
Collection “ Fonds Poésie ”
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